Deux cellules royales dont une à gauche ouverte à droite une en phase d’éclosion.
On peut apercevoir l’ouverture du couvercle.
Une antenne qui dépasse.
Puis deux, mais ce n’est pas encore gagné il faut qu’elle agrandisse l’ouverture, pour pouvoir sortir.
Enfin la tête
Et la sortie en vidéo, elle a un peu de mal à sortir, il faut qu'elle agrandisse l'ouverture.
Enfin la libération.
La voici en forme.
Sur la totalité du rucher il y a toujours une ruche qui sort du lot, celle-ci est très populeuse voir même trop, j'y ai déjà retiré trois cadres de couvains pour renforcer une plus faible.
L'inconvénient avec une reine prolifique comme celle-ci, et le retard pour poser la hausse c'est l'essaimage qui s'installe.
Les premières cellules royales en construction !
Il faudra à tout pris surveiller cette ruche, je lui ai donné la hausse remplacé un maximum de cadres par de la cire gaufrée, en espérant qu'avec ça la fièvre de l'essaimage sera retombée. Ca serait vraiment dommage de perdre cette reine.
On voit très bien au fond la larve, qui baigne dans la gelée.
L'avantage c'est que j'ai pu consommer ma première gelée royale.
Depuis le premier vol l’activité reste très restreinte, les températures extérieures sont trop fraîches.
Entre les quelques rayons de soleil qui réussissent à passer, j’ai pu observer des abeilles sur du gui.
Durant la saison nous récupérons des cires en construction sauvage, entre et sur les cadres, sur les couvercles de ruche. Que l’on transforme en pain de cire, on utilise un appareil que l’on nomme cérificateur solaire, comme son nom l’indique il fonctionne grâce à l’énergie solaire, à condition d’avoir des journées ensoleillées.
Les débris de cire sont placés dans le cérificateur, on referme le couvercle qui est vitré pour augmenter la température
Le soir la cire a fondu ne laissant que les impuretés, morceaux de bois, propolis, divers débris…
Le résultat et un beau lingot d’or, eh non c’est un pain de cire, dommage. Que faire maintenant avec ce pain de cire ? A vos suggestions ! Réponse prochainement.
Floraison de la moutarde, dernière rentré de pollen, fleuri début août à septembre. Un apport non négligeable en fin de saison cumulé avec l'apport du sirop de nourrissement, provoque la ponte de la reine, et les jeunes abeilles qui vont naître, remplaceront les vieilles abeilles d'été. (abeilles d'été à une durée de vie d'environ 4 semaines, et les abeilles naissantes en automne vivent 6 mois).
Mais malheureusement cette année j'ai pu observer de désagréables mésaventures avec des frelons. (Les explications prochainement)
Avant l'automne elles récoltent les dernières pelotes de pollen.
Ici une ruchette dont j'ai réduit l'ouverture, pour éviter qu'elles se fassent piller, plus l'ouverture est réduit mieux elles peuvent se défendre contre les intrusions.
Une belle palette de couleur qu'elles récoltent encore en cette fin de saison, les pattes bien garnies de toutes les couleurs du blanc au jaune, en passant par l'orange.
Fleurs mâles et femelles portées par un même individu. Floraison en juin.
En plus du miel, il produit de grandes quantités de pollen. C'est un des pollens que je préfère.
L'inconvénient est que les abeilles remplissent tout, et la reine n'a plus de place pour pondre. Malgré cet inconvénient ce pollen leurs sera très utile dans les sapins, puisqu'il n'y aura pratiquement plus de récolte de pollen en forêt.
Envie de miel, vous pouvez visiter mon site ici, ou me contacter, je me ferai un plaisir de vous servir.
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