Ce lundi (7 avril), j’ai enfin pu poser les hausses des ruches d’extérieur.
Là aussi il était temps, plus de place pour la ponte et le miel.
L’espace entre dessus des cadres et le couvercle a été construit et rempli de miel.
Elles se sentaient tellement à l’étroit, qu’elles commençaient à construire des cellules royales, la fièvre d’essaimage n’allait pas tarder, surtout que cette ruche a une vieille reine, qui sera changée au mois de mai.
Les hausses sont pratiquement toutes posées.
La semaine prochaine, ce sera la pose des dernières hausses sur les ruches plus faibles.
Cette année, c’est la première année que je n’ai pas perdu de ruches, et je ne suis pas le seul, tous mes collègues dans la région n’on pas perdu de ruches.
Contrairement à ce que l’on aurait cru avec cet hiver doux, qu’on pensait catastrophique pour les abeilles, il n’en est rien.
Bien au contraire, elles s’en sortent mieux qu’un hiver froid.