Après le lavage des opercules, le tout est déposé dans la chaudière à cire.
En prenant soin par précaution de placer un tube au centre, il faudrait pas qu’elle explose puisque le système et presque identique à celui d’une cocotte-minute.
Au bout d’un quart d’heure, l’or jaune s’écoule.
Mais il ne faut pas se fier aux apparences, sous cette belle et douce couleur jaune, coule un liquide bouillant à plus de 60°, épilation garantie mesdames !
Au bout de 45 minutes, il ne reste plus que les déchets.
Sur la quantité départ, comme vous pouvez le constater, il ne reste plus grand-chose.
Mais ce n’est pas encore fini, cette cire obtenue est encore mélangée à des impuretés, qu’il va falloir séparer.
Pour ceux-ci je la réchauffe en bain-marie quelques minutes, puis je laisse refroidir plus d’une journée.
Le lendemain, le démoulage, la séparation des impuretés et bien visible, sur la photo les blocs sont retournés ce qui signifie que les impuretés étant plus lourdes que la cire, se dépose en dessous du bloc.
Le grattage des blocs
Les blocs débarrassés en majorité des impuretés.
C’est cette cire que j’utilise pour la fabrication de bougies.
Un exemple d’un sujet