Le 23 juin 2018, récolte du miel de forêt/châtaignier au rucher
Le 26 juin, extraction du miel de châtaignier
Le 29 juin, contrôle de miellée sur l’emplacement de transhumance des châtaigniers, sur ce lieu la miellée des sapins, pourrait prendre le relais. Mais rien ne s’y passait.
Le soir, les ruches du rucher avaient été transhumées dans les sapins.
Il y a avait du monde, il faisait chaud cette nuit.
Cette transhumance nous restera longtemps en mémoire, elle ne c’était pas passée comme prévu !
Le 4x4 nous avait joué un très mauvais tour !
En partant du domicile, j’avais eu l’impression qu’il avait du mal à démarrer, pourtant les batteries (2 pour ce modèle) étaient assez neuves et le démarreur aussi (2 ans).
Arrivé au rucher, je l’ai laissé tourner une bonne demi-heure par précaution.
Une heure plus tard, quand la remorque était bien chargée prête à partir, on s’apprêtait à partir bien installé dans le 4x4, je tourne la clé de contacte pour démarrer, mais rien, pas un son, niet elle ne veut pas !
Heureusement que le rucher est en hauteur, que le 4x4 était stationné vers la descente, et que je n’étais pas seul, mon gendre poussa le 4x4 avec la remorque attelée, il démarra heureusement.
30 minutes de route, arrivé sur la place de transhumance, mon intention était de laisser tourner la voiture pour charger les batteries. Mais à cause de l’automatisme de couper le moteur une fois arrivé, j’avais fait cette connerie de couper le moteur !
Bien sûr, elle ne démarrait plus, mais ouf, j’étais bien placé pour décharger la remorque.
Après le déchargement, j’avais une petite pente de 6 m pour le démarrer, il ne fallait pas se louper ! Surtout qu’un deuxième voyage était prévu cette nuit,
Au deuxième voyage, nous avons pris une deuxième voiture et des câbles de démarrage, qui ont été très utile.
C’est au court de ce dernier voyage, que la raison de cette panne nous a été dévoilée, l’alternateur était HS !
Heureusement qu’il y avait la pleine lune, les quinze derniers km, je les avais faite à la lueur des veilleuses, quand j’étais arrivé chez moi, il n’y avait plus rien, les feux étaient éteint, c’était tout juste !