A l’intérieur du rucher, mauvaise surprise, des musaraignes et des mulots ont proliférés, souillants de déjections les couvertures et le dessus des ruches.
Ils profitent de la chaleur de la grappe hivernale des abeilles, pour hiverner.
Je n’ai pas le choix, il faut intervenir en posant des appâts dans le rucher.
A l’extérieur.
Pas de signe d’hiver, quelques reines commencent timidement à pondre à en juger les trous de vol.
De l’eau de condensation commence à s’accumuler devant les trous de vol.
Elles s’impatientent, elles veulent le printemps, voler et récolter du pollen.
Mais elles devront encore patienter un bon mois, février n’a pas encore dit son dernier mot.
L’hiver n’est pas encore arrivé, et le retour pourrait être brutal.
Devant d’autres trous de vol, des abeilles mortes, ceci n’est pas alarmant, dans la mesure que ce ne sont que quelques abeilles. Ce sont des mortalités naturelles, les abeilles d’automne arrivants en fin de vie.
Si devant d’autres ruches on n’observe pas d’abeilles mortes, cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de mortalité hivernale, mais plutôt, que les oiseaux sont passés avant nous, ils en sont très friands.
Pour vérifier les mortalités, il faut passer au rucher de bonne heure et avant les oiseaux.
Pour l’instant, ce ne sont pas que les abeilles qui s’impatientent, mais moi aussi.
Les visites se font au trou de vol, jusqu’au 15 mars au moins.