Le 23 juillet, sur l’emplacement des châtaigniers
Comme je n’avais détecté aucun signe d’une miellée de sapin, j’avais pris la décision de ne pas transhumer dans les sapins, mais de les laisser sur place.
Les abeilles ont plus de chance de trouver une source de nourriture ici qu’en hauteur, et si les sapins devaient commencer à miellée, elles n’auraient pas loin à voler pour les atteindre.
Par précaution avant de partir en vacances, j’ai nourrie les ruches.
Pour cela, j’ai utilisé un cadre spécialement affecté à cet usage, ces cadres je les possède depuis plus de 17 ans et jamais servis !
Il est fermé des deux faces, l’une par une fine paroi isorel avec un espace de quelques centimètres entre le dessus du cadre et la plaque (pour le passage des abeilles), l’autre face, d’une vitre escamotable qui sera orienté vers l’arrière de la ruche, afin de contrôler la prise du candi par la portière arrière de la ruche.
Ce cadre remplacera le carde piège à varroas, puisque celui-ci a été abandonné par les abeilles, plus une goûte de miel, ni de construction après le dernier découpage, signe qu’il n’y a plus de miellée.
Le cadre remplis de candi, prêt à l’emploi.
Sur le couvercle à gauche de la photo on peut voir de futures Pélopée Courbée
Les nucléis sont également nourrit, mais pas avec le cadre à candi, mais avec des barquettes, de vieilles boites de beurre que j’ai remplis de candi.
Une année misérable.